Viols collectifs : Les tournantes
La presse a fait
l'impasse, mais la vérité éclate au grand jour. Les viols collectifs sont
monnaie courante, dans les Cités d'immigrés, en France.
Antenne 2 y a consacré, ce jeudi 6 juin, l'émission
"Envoyé Spécial".
Deux faits? Banals, quotidiens.
Une adolescente de 14 ans rentre de l'école, cartable au bras. Elle est
capturée par 3 "jeunes", de 14, 15 et 17 ans. Ils l'entraînent dans
une cave, la violent tour à tour. Par la porte restée entrouverte, d'autres
adolescents et enfants regardent, tout simplement.
Une jeune fille de 19 ans, suit son ami dans une Cité voisine. Il l'emmène
dans une chambre, et l'y laisse face à un "caïd", qui la viole.
"Ce n'est pas la peine de te rhabiller", dit-il, "il y en a
d'autres qui attendent...". Sur le seuil de la chambre, elle retrouvera son
"ami", qui a réglé la "tournante"...
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Brêves
: ce que l'on vous cache VIOLS COLLECTIFS
Ce 18 avril, le Procureur du Roi de Bruxelles réclamait 8
ans de prison, contre un jeune Congolais, co-auteur d'un viol collectif.
C'était à Anvers, en mars 1999: 9 jeunes Noirs capturent une adolescente de 15
ans dans la rue, l'emmènent dans une cave, la frappent et la violent. Ce type
de viol collectif, déjà monnaie courante en France, y est appelé "tournante".
Le quotidien "Le Monde" écrit, le 23 avril, que c'est là un
"rite tabou" dont la justice commence seulement à se
préoccuper. C'est que, le 24 avril, comparaissaient devant la Cour d'Assises de
Paris, les "jeunes" Djokre, Sekou, Bouzid, Bakari, Djamel,
Boubou, Aziz, Ladji, Mostépha et Hacène. Leur histoire commence en octobre
1993. Leur "pote" Osmane, 19 ans, entraîne dans une cave une
gamine de 14 ans, Sabrina. Après avoir eu des relations sexuelles avec elle, il
la laisse à la disposition de ses... 14 copains. Mais l'histoire ne s'arrête
pas là. Sabrina a porté plainte et, en guise de représailles, elle est à
nouveau entraînée dans une cave, et violée par 10 "potes".
Au procès, ils comparaissent libres, et se serrent joyeusement la main. Ils
sortiront tout aussi libres: 4 ou 5 ans, avec sursis. Les victimes de ces viols
sont, le plus souvent, blanches. Les chanteurs de "rap", qui
prônent le viol sans vergogne, ne laissent aucun doute à ce sujet. C'est
pourquoi aucune voix ne s'élève. Les agressions contre les Blancs ne sont pas
des agressions "racistes". Deux poids, deux mesures.
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