Brêves : ce que l'on vous cache

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Ce 18 avril, le Procureur du Roi de Bruxelles réclamait 8 ans de prison, contre un jeune Congolais, co-auteur d'un viol collectif. C'était à Anvers, en mars 1999: 9 jeunes Noirs capturent une adolescente de 15 ans dans la rue, l'emmènent dans une cave, la frappent et la violent. Ce type de viol collectif, déjà monnaie courante en France, y est appelé "tournante". Le quotidien "Le Monde" écrit, le 23 avril, que c'est là un "rite tabou" dont la justice commence seulement à se préoccuper. C'est que, le 24 avril, comparaissaient devant la Cour d'Assises de Paris, les "jeunes" Djokre, Sekou, Bouzid, Bakari, Djamel, Boubou, Aziz, Ladji, Mostépha et Hacène. Leur histoire commence en octobre 1993. Leur "pote" Osmane, 19 ans, entraîne dans une cave une gamine de 14 ans, Sabrina. Après avoir eu des relations sexuelles avec elle, il la laisse à la disposition de ses... 14 copains. Mais l'histoire ne s'arrête pas là. Sabrina a porté plainte et, en guise de représailles, elle est à nouveau entraînée dans une cave, et violée par 10 "potes". Au procès, ils comparaissent libres, et se serrent joyeusement la main. Ils sortiront tout aussi libres: 4 ou 5 ans, avec sursis. Les victimes de ces viols sont, le plus souvent, blanches. Les chanteurs de "rap", qui prônent le viol sans vergogne, ne laissent aucun doute à ce sujet. C'est pourquoi aucune voix ne s'élève. Les agressions contre les Blancs ne sont pas des agressions "racistes". Deux poids, deux mesures. http://racismeantiblanc.bizland.com

Les politiciens au pouvoir disent volontiers, avec commisération, que la population belge a un "sentiment" d'insécurité. Les bandes au coin des rues, qui guettent le passant? Ce n'est qu'une idée, vraiment. Vous hâtez le pas, jusqu'à l'entrée du cinéma? Allons, bon, vous êtes arrivé: vous êtes en sécurité. Hé bien non, c'est fini. Les bandes de "jeunes", elles aussi, vont désormais au cinéma. Comme à l'UGC, place De Brouckère, à Bruxelles. Depuis un an, c'est l'enfer, pour la direction et... les spectateurs. Entrée des jeunes nord-africains par les entrées de secours, chahuts, sonneries de GSM, batailles en règle, jusqu'à l'interruption des séances. Caméras, agents de sécurité, rien n'y fait. Les agents sont menacés à la sortie! La direction tente de modifier les programmes, pour décourager les jeunes harceleurs. Les clients sont remboursés. Les autorités belges sont-elles encore capables de contrôler, la criminalité qu'elles ont importé?

Le Sénat a présenté, ce 19 avril, un rapport intermédiaire sur la grande criminalité en Belgique. Une chose est sûre, à la lecture de ce rapport: diverses mafias se partagent le territoire belge et les Procureurs du Roi, comptent les balles (les vraies). Ainsi, on sait que la mafia albanaise a chassé la mafia russe, d'Anvers à Bruxelles. A la kalachnikov et au lance-roquettes RPG7. Les Procureurs respectifs le constatent. Le Procureur de Bruxelles Dejemeppe suggère qu'on renvoie ou reconduise à la frontière (quelle frontière? nous n'en avons plus), les étrangers indésirables. Tiens, tiens, c'est au programme du FNB! Le Procureur de Liège connaît bien ses mafias: l'italienne, la turque, l'albanaise-kosovar. La mafia italienne organise les hold-up, le trafic de drogue et de voitures. La mafia turque met sur le marché: femmes, armes, et stupéfiants. Le milieu albanais trafique, bien sûr, les femmes, les drogues et les voitures, mais se spécialise aussi dans le "racket". Tous les petits commerces, les cafés du Centre - ville y passent, un jour ou l'autre. Un commerçant averti en vaut deux. L'armement de ces nouvelles mafias exotiques? Des fusils mitrailleurs, des bazookas, des explosifs. Les banques et autres postes se blindent. Les malfrats de poids moyen ou plume s'en prennent donc aux facteurs, aux libraires, aux caissières des grandes surfaces, aux particuliers. Vous et moi, quoi! En un an, ce type d'agressions a augmenté de 300%, constate le Procureur du Roi de Liège. Elle constate, sans rire, un "sentiment d'insécurité" grandissant. Alors, à Charleroi... Là, on a appris récemment que braquages et hold-up ont augmenté de 70%, en février 2001, par rapport à février 2000. Mais, pas de panique: l'arrondissement est relativement protégé du milieu albanais (par qui?) et la police gère, au jour le jour, les attaques de fourgons, de grandes surfaces, et autres car, home et sac-jacking. On reste pantois devant l'incurie des autorités belges actuelles. La Belgique est ouverte à tous les vents, et à toutes les mafias. Au nom... des droits de l'Homme?!

Le ministre de la Justice, Marc Verwilghen, a fait comme nous: il a lu le rapport du Sénat sur la criminalité organisée. Que d'armes! Que d'armes! a dit ce brave homme, et il a décidé aussitôt d'en interdire l'usage aux... honnêtes citoyens. Seuls les malfrats (et, accessoirement, la police, qui est rarement là en cas d'agression!) auront donc des armes de guerre et de poing, ce qui évitera, en quelque sorte, trop d'effusion de sang. La classification des armes légales est revue: les armes de guerre et de défense sont supprimées. Sic! Ainsi, ces catégories d'armes ne seront plus, en aucun cas, accessibles au public. Les chasseurs pourront encore chasser, s'ils ont un permis de chasse. S'ils arrêtent de chasser, ils ne pourront plus acheter de munitions. Quant au tireur sportif, il pourra acquérir une arme, mentionnée sur une liste, à de multiples conditions: autorisation du gouverneur de province (bonjour, le soutien politique!), avis conforme des services de police, absence de casier judiciaire, examen pratique et théorique, accord des cohabitants de l'immeuble!! et... justifier d'un motif légitime. Attention, bonnes gens! Le motif légitime ne peut, en aucun cas, être la protection de votre famille ou de vos biens. Les malfrats de toute origine auront désormais affaire à une population civile tout à fait désarmée: mais quand, mais quand les Belges, et autres Européens, vont-ils réagir? Prenez vite contact avec nous: FNB 02.770.88.66 ou par Email.

L'ex-ministre de la Justice Melchior Wathelet, tout aussi peu soucieux de la sécurité de nos concitoyens que l'actuel ministre, vient d'être agressé à Verviers, ce 17 avril. Circulant au volant de sa Mercedes en compagnie de son épouse, il a été agressé par deux hommes encagoulés et armés, qui lui ont soufflé le véhicule. Il paraît que, depuis, l'ex-ministre a parfois un "sentiment" d'insécurité, tout à fait injustifié dans notre petit Royaume, comme l'on sait.

La presse aux ordres se félicite! Le contribuable belge sera le premier, en Europe, à financer les lieux de culte musulmans. L'Exécutif des Musulmans de Belgique a, d'ores et déjà, remis au Ministre de la Justice une liste de 70 mosquées à reconnaître en priorité, sur les 320 mosquées répertoriées. Le contribuable paiera les mosquées, le logis de l'imam, et son traitement. On sait que le financement de l'Eglise Catholique procède en droite ligne du Concordat de Napoléon: celui-ci l'avait concédé, en compensation de la spoliation des biens de l'Eglise, durant la Révolution. Aujourd'hui, l'Etat belge finance tous les cultes "reconnus", y compris... le "culte" laïque. A raison de 23 milliards l'an, dont 77% vont au culte catholique. Ceci n'est pas du goût d'Ecolo, ni de Nordin Maloujahmoun, président de l'exécutif musulman. "Nous sommes la deuxième religion du pays", note celui-ci. Ecolo propose donc un recensement religieux, tous les 5 ans, et une répartition des fonds sur cette base. Pour faire de la Belgique, au plus vite, une dar al-islam? (voir Bastion n°52)

Les Tziganes arrivent en Belgique, par dizaines de milliers. Aux carrefours, sur les parkings des grandes surfaces, ils vous tendent la main, un seau et une raclette, des fleurs, un journal... Aux heures de pointe, les automobilistes à l'arrêt dans les tunnels ont la surprise de voir déferler des enfants, frappant à la vitre, mendiant. La situation s'est récemment aggravée, la Belgique ayant à nouveau supprimé le visa pour les ressortissants slovaques, depuis le 10 avril. Le ministre de l'Intérieur slovaque, Ladislav Pittner, parle de "voyages d'asile". La Belgique n'aurait qu'à s'en prendre à elle-même: les conditions d'asile en Belgique sont excellentes, et les Roms reçoivent ensuite un viatique, pour retourner chez eux! Quand donc le gouvernement arc-en-ciel pensera-t-il à la qualité de la vie des Belges, excédés d'être importunés dans leur vie quotidienne, leurs déplacements en voiture, leurs courses?!

Semira Adamu, c'est cette jeune Nigériane, qui s'était rebellée lors de son expulsion de Belgique, le 22 septembre 1998. Les gendarmes qui l'escortaient avaient tenté de la maîtriser dans l'avion, notamment en lui appliquant un coussin sur le visage, comme le prévoyait à cette époque une circulaire officielle. L'intéressée était morte peu après. Ce 25 avril, comparaissaient, en Chambre du Conseil, les trois gendarmes. A la stupéfaction de La Ligue des Droits de l'Homme, le Parquet a demandé le non-lieu pour le délit de "racisme", et le renvoi en correctionnelle pour coups et blessures, ayant entraîné la mort, sans intention de la donner. Hé oui, Ligue des Droits, tous les magistrats ne marchent pas encore à la baguette! Pour La Ligue, un détenu Noir qui décède lors d'une rébellion, c'est du "racisme"! Et si c'est un détenu blanc? Un simple accident?

On croyait que cela allait sans dire, mais ce n'est pas le cas. C'est en tout cas l'opinion d'Arne Sierens, qui en a fait le titre d'une pièce de théâtre, que l'on joue en ce moment. Je suis insulté par procuration, par de telles généralisations! dit Albert Raes. C'est que cet ex-patron de la Sûreté de l'Etat belge, est aujourd'hui consul honoraire du Maroc en Belgique. Il n'a pas vu la pièce, mais il en trouve le titre raciste, sans plus. Le trafic de faux visas d'étudiants, à Casablanca? Il est évident que les jeunes Marocains préfèrent acheter un visa pour l'Europe, que de risquer leur vie dans le détroit de Gibraltar! dit-il. Autant pour la morale, et le respect des lois. Et puis, que penseriez-vous d'un tel titre, visant les Belges?! Une pièce intitulée: "Tous les Belges ne sont pas des voleurs!"? Raes a raison: personne n'irait la voir, c'est évident. (source: De Standaard, 21.4.2001)

L'échevin socialiste de l'enseignement, à Gand, Freya Van den Bossche, a une idée lumineuse. Créer des écoles de langue maternelle... turque. A Gand, où les Turcs sont, officiellement, 8000. Les bambins y apprendraient à lire, écrire et calculer, en Turc, avant d'apprendre le Néerlandais, comme tout le monde. Ahurissant! Quand on songe qu'il est interdit d'enseigner en français, en Flandre, mais aussi dans la périphérie bruxelloise, où vivent des centaines de milliers de francophones! Le Turc? Oui! Le français? Jamais! L'échevin compte aussi interdire aux écoles d'inscrire plus de 82% de Belges. Un quota de 12% serait ainsi "réservé" aux étrangers. Le but? Eradiquer les dernières écoles "blanches".

Ah! Où sont les Amazones d'antan, qui se brûlaient la mamelle droite, pour tirer plus sûrement à l'arc? Tout cela est bien fini! L'armée britannique, qui compte 16.000 femmes sur quelque 200.000 soldats, offre à ses recrues... la pose d'implants mammaires, gratuitement. L'opération coûte à l'armée quelque 2.500 livres, ou quelque 150.000 francs. Elle est accordée aussi en cas de "nécessité psychologique impérieuse". Beh tiens.