Le parallèle avec la Rome décadente devient de plus en plus frappant.

En dépit des plans de résorption du chômage, le nombre d’inactifs allocataires sociaux ne fait qu’augmenter.

Quant aux jeux, outre les programmes de télévision qui sont de plus en plus débiles (reality shows et autres programmes vides de contenu), les dépenses des pouvoirs publics pour l’organisation de fêtes et de loisirs sont en constante augmentation. On tend vers une fête permanente organisée avec les deniers publics. Ces « événements » sont en général organisés par des sociétés spécialisées dirigées par des proches de nos mandataires politiques, qui ne se privent pas de prélever un large pourcentage pour leur intervention.

Quand aux politiciens, il semble que l’organisation de fêtes soit plus rentable électoralement que les réalisations concrètes telles qu’accroître la recherche scientifique ou résoudre les problèmes économiques.

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