Le Front Nouveau de Belgique est né, officiellement, le 25 janvier 1997. Un premier Congrès a réuni 230 personnes dans un grand hôtel de Bruxelles.

Il a été fondé et est présidé par MB, qui est député depuis le 21 mai 1995. Avant cela, elle a été successivement: Substitut du Procureur du Roi, Juge au Tribunal du Travail, professeur à l'Ecole de Police, Conseiller à la Cour du Travail.

Le FNB a été porté sur les fonds baptismaux tant par des cadres en provenance des partis traditionnels comme Roger Nols, Marie-Françoise de Fays, Thierry le Maistre d'Anstaing, ou l’ancien sénateur Daniel Noêl de Burlin que par de jeunes cadres de la mouvance nationale. 

Depuis, le FNB a évolué et s’est structuré. Si certains ont laissé tomber, d’autres, plus nombreux et plus dynamiques ont rejoint le FNB. Malgré la censure, le boycott du système et les embûches, le FNB poursuit sa progression, contre vents et marées. Tôt ou tard, le succès sera au rendez-vous, parce que le combat que mène le FNB est un combat juste, parce que les analyses du FNB sont bonnes et parce que tôt ou tard le peuple belge prendra conscience du bien fondé des thèses défendues par le FNB.

Le FNB veut défendre les droits légitimes des Belges et les saines valeurs qui ont permis de construire notre civilisation. Il interdit à ses membres toute attaque personnelle fondée sur la race, la vie privée ou la religion, toute attitude antisémite, toute polémique relative aux divers génocides qu'a connus l'Histoire, toute sympathie à l'égard des ennemis de la Nation belge et tout recours à la violence. Ceci a été inscrit dans les statuts. 

Car le FNB est un parti véritablement démocratique : contrairement aux partis traditionnels qui se sentent obligés de s’affubler en permanence du titre de « démocratique », parce que le peuple belge n’y croit plus, le FNB combat pour que la volonté du peuple se traduise réellement dans l’action politique. C’est ainsi que le FNB est opposé à toute censure, à tout délit d’opinion et à toute limitation de la liberté d’expression: seuls des comportements peuvent être sanctionnés. Le FNB veut un accès de tous, sur un pied d’égalité, aux élections et aux médias. 

Le FNB veut rétablir des valeurs que la droite a abandonnées: l'attachement à notre pays, à notre territoire, à nos familles, à notre culture. Nous sommes fermement opposés à l'immigration massive en provenance du tiers monde. Nous pensons que les Belges ont le droit de vivre, entre eux, sur leur territoire, et en sécurité! Le FNB veut dès lors une police, une armée et une justice efficaces.

Le FNB veut rétablir des valeurs que la gauche a trahies: du bien-être pour nos compatriotes; l'établissement d'une priorité pour les Belges en Belgique, l'établissement de la préférence nationale en matière d'emploi, de logement, de sécurité sociale, d'adoption...

Comment expliquer aux nombreux citoyens belges qui vivent avec moins de 20.000 francs par mois, parfois après une vie entière de travail, que le budget de notre sécurité sociale dépasse 1.500.000.000.000 de francs belges et que n’importe quel candidat réfugié politique reçoit plus qu’eux, sans même lever le petit doigt !

Le FNB veut bannir ce que la classe politique d'aujourd'hui a honteusement établi: la corruption, la corruption de la magistrature, l'abandon de toute éthique, au point de retrouver des pédophiles, siégeant sans vergogne dans les gouvernements ou parlements belges!!!

Le FNB a un Comité Directeur, qui rassemble des représentants des divers arrondissements de Bruxelles et de Wallonie. Ce qui n'empêche pas les Flamands d'être les bienvenus chez nous! Le FNB a un Comité Général, qui rassemble nos élus, au niveau fédéral, régional, provincial ou communal et tous nos responsables locaux. Des sections sont actives, ou se forment, un peu partout. Nous vous communiquerons, sur demande, les coordonnées de la section la plus proche de votre domicile.

"Le Bastion" est notre mensuel: il vous donnera des échos, sur la vie des sections, sur la vie du pays, sur notre activité au Parlement ou ailleurs. Vous pouvez y faire publier vos réflexions, au "Courrier des Lecteurs". Prenez un abonnement: "Le Bastion", c'est le lien entre vous et nous. Des périodiques locaux existent aussi, dans diverses sections.

Le FNB, jeune et actif, n'hésite pas à prendre le taureau par les cornes: ainsi, nous avons honoré la mémoire des 10 commandos assassinés à Kigali, malgré "l'intervention" d'un escadron de gendarmes, nous avons été protester sur les marches du Palais de Justice de Neufchâteau, contre la scandaleuse évasion de Marc Dutroux et nous avons participé à d’autres manifestations !

Mais l’action dans la rue n’est pas la méthode préconisée par le FNB. Le FNB se voulant un parti réellement démocratique veut jouer le jeu démocratique. Respectueux des lois, il vise une action efficace à long terme en entrant dans toutes les assemblées représentatives, où il espère exercer un contrôle efficace du pouvoir et une tribune pour exprimer le bon sens populaire.

C’est ainsi que notre présidente MB a joué à de nombreuses reprises les trouble-fêtes au Parlement et n’a pas hésité à dénoncer de nombreuses reprises des scandales ou des abus. C’est ainsi que le FNB a été le premier à dénoncer, tant au Parlement qu’en distribuant des milliers de tracts, les dangers que le vote électronique faisait courir à la démocratie.

Le FNB est confronté à une censure complète des médias : il est en effet considéré par beaucoup de politiciens traditionnels comme un véritable danger pour l’oligarchie en place. Il est en effet devenu du côté francophone le seul véritable parti d’opposition. Aidez-nous à briser cette censure, faites-nous connaître autour de vous. C’est en faisant « tache d’huile » dans la discrétion que nous atteindrons le succès en surprenant nos adversaires.

Tous renseignements complémentaires peuvent être obtenus au Bureau du FNB (Teléphone et fax : 02/770.88.66). Si vous souhaitez rencontrer un responsable, un cadre de votre région, assister aux réunions, distribuer des tracts, écrire des articles, nous offrir caricatures ou dessins... prenez vite contact avec nous.

L'avenir de la Belgique dépend de nous, dépend de vous !