Programme FNB - Le FNB - Démocratie - Insécurité - Islam - Armes - Armée belge - Santé - Féret - Le Bastion - Emploi - Enseignement - Vos élus - |
PROGRAMME SUCCINCT DU FNB 1. DEMOCRATIE : On n’a jamais tant parlé de démocratie, pourtant les citoyens n’ont jamais été aussi mécontents du fonctionnement des institutions. Il faut une réforme fondamentale des institutions pour rendre le pouvoir au peuple. Nous voulons donc instaurer le référendum d’initiative populaire. Simplifier les institutions et les lois : les citoyens doivent comprendre facilement comment fonctionnent les institutions et quels sont leurs droits et devoirs. La démocratie ne se conçoit pas sans transparence. Nous voulons une liberté absolue d’expression et de réunion, et le droit pour tous de se présenter dans les mêmes conditions aux élections et d’accéder aux médias. Les politiciens doivent être remis à leur place : ils ne sont que les représentants du peuple et ne peuvent être une caste de privilégiés qui se reproduit par népotisme. Il n’y a pas de démocratie sans responsabilité. 2. SECURITE : La délinquance sévit de plus en plus en toute impunité dans notre pays : ce n’est pas un simple « sentiment » d’insécurité, mais un triste constat que tout le monde peut faire. Les citoyens doivent pouvoir se promener partout en Belgique et à n’importe quelle heure en toute sécurité et sans crainte d’être agressés. Il est anormal de devoir se barricader chez soi, de vivre dans la crainte ou de dépenser des fortunes pour se mettre à l’abri. Le principe de la tolérance zéro doit être appliqué : les délinquants doivent être arrêtés et immédiatement sanctionnés sans faiblesse. Le crime ne doit jamais payer. Priorité aux droits des honnêtes gens plutôt qu’à ceux des délinquants. Il faut réformer la Justice, simplifier les procédures, mais surtout accorder les moyens nécessaires pour lutter contre la délinquance et restaurer un véritable Etat de droit. 3. IMMIGRATION : La Belgique n’a pas à accueillir toute la misère du monde : elle n’est pas le CPAS du monde entier. Elle ne peut être un repère de terroristes. Les étrangers qui viennent en Belgique doivent travailler, ou bien rentrer chez eux. Il faut arrêter toute immigration à la sécurité sociale. Les délinquants étrangers doivent être expulsés. La Belgique ne peut accueillir que les vrais réfugiés politiques : ceux qui risquent leur vie pour des motifs politiques et doivent se réfugier dans le premier pays venu. Mais pas ceux qui traversent un continent entier pour trouver un meilleur standard de vie. Les immigrés doivent s’intégrer ou s’en aller. L’islam est une idéologie dangereuse, incompatible avec la démocratie et nos valeurs. 4. ECONOMIE : La mondialisation et le collectivisme sont deux écueils qu’il faut éviter. Ceux qui travaillent dur et sont compétents doivent être récompensés, mais ceux qui refusent de faire des efforts pour s’en sortir doivent être pénalisés. Il faut recréer une véritable solidarité entre tous les citoyens de bonne volonté, dans l’entreprise, dans les communes et entre régions et au sein de l’Europe pour résister à la concurrence étrangère. Il faut mettre fin aux abus et privilèges si on veut créer une économie dynamique et performante, qui profite à tous. L’Etat doit garantir un socle de sécurité sociale égal pour tous les citoyens, indépendants ou salariés, qui respecte la vie privée des bénéficiaires. Les engagements de l’Etat, notamment en matière de pensions, doivent être respectés. 5. FAMILLE : La dénatalité des Européens est un des problèmes majeurs auxquels est confrontée l’Europe actuelle. Si nous n’avons plus d’enfants, les pensions et la sécurité sociale vont disparaître et l’économie s’effondrer. Cela ne préoccupe guère les politiciens qui ne pensent qu’à court terme. La solution n’est pas d’importer des populations étrangères, mais d’avoir une véritable politique de la famille. La finalité première du mariage et de la famille n’est pas la satisfaction de besoins égoïstes, mais la perpétuation de notre société, de notre culture et de notre patrimoine. Les notions de famille et de mariage doivent être protégés et encouragés. Toute femme qui souhaite avoir des enfants doit pouvoir réaliser son vœu sans entraves. Nos familles doivent pouvoir élever deux ou trois enfants dans les meilleures conditions. 6. EDUCATION : L’école est en crise depuis de longues années : on a voulu en faire un terrain d’expérimentation pour idéologies dévastatrices. Les recettes d’une bonne éducation sont connues depuis des siècles, il ne faut pas les réinventer : effort, travail, méthode, ordre, discipline et acquisition de connaissances. On récompense les bons et on sanctionne les paresseux. On transmet, d’une part, des schémas de pensée sains et efficaces et, d’autre part, des normes et règles claires qui sont l’essence de notre culture et de nos traditions. Il faut mettre fin au laxisme actuel. L’éducation est un investissement dans notre avenir : il faut donc y mettre les moyens, mais ne pas les gaspiller. L’école doit mener à un diplôme sérieux, qui permette de trouver un emploi. L’éducation ne se termine pas à 18 ans, mais continue tout au long de la vie active. 7. FISCALITE : Les impôts sont trop élevés et on gaspille l’argent public. Plus on paie d’impôts, moins on a envie de travailler : pour relancer l’activité économique, il faut diminuer les impôts. Et donc diminuer les dépenses : tout le monde sait combien les pouvoirs publics savent gaspiller. Contrairement aux partis politiques traditionnels, le FNB veut lutter contre les gaspillages, la corruption et le coûteux clientélisme politique. En matière de parafiscalité, d’énormes économies sont possibles, à condition de bien vouloir s’attaquer à certains tabous et privilèges injustifiés. Nombre de charges administratives imposées aux acteurs économiques doivent être considérés comme des impôts en nature, souvent inutiles, et doivent donc être supprimées. Les impôts à la consommation doivent être préférés à l’impôt sur le revenu. 8. EUROPE : Le projet européen devait rendre à l’Europe la place qui lui revient dans le monde : un espace de libertés, un acteur politique incontournable, un modèle de société et une puissance économique de premier plan. Les politiciens en ont fait un grand marché sans âme, ouvert à tous vents, un monstre technocratique peu soucieux des citoyens et un valet politique de l’empire américain. Tant les citoyens de l’Union que ceux des pays candidats à l’adhésion sont majoritairement opposés à l’élargissement. Il faut prioritairement rendre à l’Europe son âme pour en faire un espace de véritable démocratie et de sécurité. L’Europe doit impérativement être limitée à ses frontières naturelles et culturelles. Elle doit être capable d’assurer sa défense sans devoir s’en remettre à d’encombrants alliés. 9. ECOLOGIE : L’écologie est devenue une tarte à la crème pour les partis politiques du même nom : ce sont des usurpateurs plus soucieux d’idéologie gauchiste que d’environnement. Ces collectivistes n’ont d’écologistes que le nom. Chaque peuple est lié à la terre qui l’a vu naître et qui a influencé sa culture. L’écologie, c’est préserver le cadre de vie, l’harmonie de l’environnement physique et social, c’est conserver ses racines naturelles et le lien séculaire qui nous lie à nos ancêtres : cette terre qui nous nourrit, l’air que l’on respire, l’eau que l’on boit, les paysages de toujours… C’est créer les conditions pour préserver notre santé physique et mentale, et notre bonheur. Elle n’est pas une idéologie inventée par des citadins doctrinaires, mais le pragmatisme et le bon sens de ceux qui connaissent encore les dures lois de la nature. Elle ne s’oppose pas forcément au progrès technique. 10. CULTURE : La culture, c’est l’ensemble des traditions, modes de pensée, habitudes de vie, règles et normes collectives, et projets de société qui font qu’un ensemble d’individus se sentent un destin commun et constituent une nation. Une société multiculturelle est un magma d’individus sans racines, sans destin commun et donc sans avenir. Chaque peuple est riche de sa culture, mais le mélange de cultures différentes sur un même territoire ne peut mener qu’à des frictions, à l’intolérance ou au métissage culturel. Le métissage culturel est un appauvrissement, parce qu’il tue la diversité et la spécificité qui font la richesse de l’humanité. L’Europe doit être fière de ses valeurs, de son art et de son histoire, et doit continuer à faire progresser ses spécificités en évitant les écueils de l’exotisme, du McWorld et des provocations faciles. La société européenne est fondée sur des valeurs spécifiques qui valent la peine d’être défendues.
Vos suggestions et commentaires
|