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assassinats politiques
Le premier parti de Flandre – et donc de Belgique –est interdit. On peut penser ce que l’on veut du Vlaams Blok, il faut reconnaître que cette mesure est une atteinte grave à la Démocratie. Car en Démocratie, le peuple est souverain. Cela signifie que c’est lui qui décide en dernier ressort. C’est donc à l’électeur belge de décider si les idées du Vlaams Blok sont bonnes ou non. Ce n’est pas aux politiciens ou aux juges de se prononcer à ce sujet. Le Blok serait raciste ! La preuve, c’est que les tribunaux l’ont dit ! Et qu’en pense le million de Belges qui ont voté pour lui ? Qu’en pensent ceux qui l’ont envisagé ou qui voteront désormais pour le Vlaams Belang ? Nous ne partageons pas les vues du VB, mais nous condamnons cette façon de faire. En Démocratie, on ne supprime pas ses adversaires. On dialogue, on argumente, on convainc: le seul juge politique est l’électeur. Théo van Gogh est mort. Qu’importe ce qu’il pensait, disait ou filmait: un assassinat est toujours un scandale. Un assassinat politique particulièrement: parce que cela remet en cause les règles fondamentales de la société. Personne n’a heureusement approuvé publiquement cet assassinat. Même pas des musulmans: la taqqiya (dissimulation) est une règle fondamentale de l’islam. Mais des journalistes belges ont qualifié le cinéaste assassiné de « provocateur ». D’autres, à la RTBF, ont osé le présenter comme le « prétendu arrière-petit-neveu de van Gogh ».Si Théo van Gogh avait été de gauche, on se serait bien plus indigné. Mais il était « islamophobe » et il admirait Pim Fortuyn. L’indignation n’a donc été que très formelle chez certains. Pour paraphraser Jean de la Fontaine: « Selon que vous serez bien-pensant ou non, les jugements de la presse vous rendront blanc ou noir ». Ses assassins sont musulmans. « Des extrémistes qui ne représentent en rien la majorité des musulmans » clame en chœur la presse subventionnée. Faux! L’Islam encourage au meurtre! Mahomet, exemple à suivre pour tout musulman, demandait à son entourage d’assassiner ceux qui le critiquaient. Ont ainsi été liquidés pour faire plaisir au prophète : le conteur Al Nader, Ocba, la poétesse Asma bint Marwan, le centenaire Abu Afak, Kab ibn al-Asraf, l’ami de sa famille Ibn Sunayna… Etc. Sans compter tous ceux que l’envoyé d’Allah – la peste soit sur lui – a exécutés de sa propre main. L’islam est une religion intolérante, violente et conquérante. Aucun de nos dirigeants ne veut voir la réalité, ne veut même s’informer. Parce qu’ils refusent la conclusion logique qui en découle. On préfère jouer l’autruche. Et condamner ceux qui osent attirer l’attention sur le problème. « Il n’y a aucun risque que cela arrive en Belgique » martelait Laurette Onkelinx devant les caméras de télévision. Quelques jours après, le sénateur SPa Mimount Bousakla, journaliste au Morgen, était menacée d’exécution rituelle, parce qu’elle avait renié ses origines, parce qu’elle critiquait l’islam. Le coupable? Un Belge converti à l’islam, sympathisant d’Abou Jahjah. Quelqu’un qui devrait savoir ce qu’est l’islam, puisqu’il n’est pas tombé dedans étant petit, mais l’a choisi en connaissance de cause! Peu après, trois islamophiles du PS étaient à leur tour menacés. Sans doute parce qu’il veulent se servir de l’Islam à des fins purement électorales. L’avenir nous dira pourquoi. Prions Dieu que le coupable ne soit pas un islamophobe: cela desservirait notre cause! Quoi qu’il en soit l’islam arrogant commence à montrer son visage. Parce qu’il se sent fort. Parce que nous nous comportons comme des faibles à son égard. Nous condamnons fermement toute violence. Mais apparemment seule la violence de nos ennemis peut encore nous réveiller. Il a fallu le 11 septembre aux États-Unis. Que faudra-t-il à l’Europe pour qu’elle prenne conscience du danger? Le peuple en prend conscience. Mais les politiciens démocrates – non pratiquants, comme l’écrit un lecteur – ne veulent rien entendre. Et parce qu’ils ne veulent rien savoir, il tentent de faire taire les Cassandre qui les dérangent. Ils persécutent et interdisent les empêcheurs de magouiller en rond. Avec de tels dirigeants, ce n’est plus la Belgique qui est menacée, ce n’est plus l’Europe, c’est notre civilisation! Nous courons à la catastrophe. Mais quand se produira le grand chambardement, il faudra que le peuple puisse se raccrocher à d’autres leaders pour l’aider à sauver ce qui pourra encore l’être.
Licencié en Sociologie, Science Politique et en Droit Ancien Officier supérieur para-commando Secrétaire général du FNB
(Bastion n°84 de novembre 2004) |