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NOUS AVONS GAGNE UNE BATAILLE ...

Sniper, cela signifie tireur isolé, en anglais et dans presque toutes les langues du monde. Sniper, c’est devenu un cri de guerre, de guerre civile, depuis qu’un groupe de r.a.p. ‘français’ l’a choisi comme nom. Car, quand on entend le texte des ‘chansons’ de Sniper, on ne peut que constater qu’il n’a pas choisi son nom pour sa consonance anglo-saxonne. Comme tous les rapeurs, les Sniper chantent de manière agressive, pour appeler non seulement à la haine raciale, mais à la violence, aux meurtres et aux viols collectifs.

C'est ainsi qu'ils crient: "Sept jours par semaine, j'ai envie de dégainer sur des faces de craie. Pan, dans tes dents. Je m'adresse à toi, petit blanc. Je baise ton gouvernement, ta mère, ta soeur. Cette chienne kiffe l'Afrique, ma trique, ma ziq. Elle veut un négroïde. Que va-t-il se passer au village des visages pâles. Je les fixe dans mon zoom. Boum, boum. Anéantir."

Dans un autre morceau, il est question de: "On est tous chauds pour exterminer les ministres et les fachos. Le seul moyen: brûler des voitures. La haine coule dans nos artères. Les frères sont armés jusqu'aux dents, tous prêts à faire la guerre. Ca va du gun au fusil à pompe, pitbull et rotweiler. Mon seul souhait est de nous voir désormais les envahir. Leur laisser des traces et des séquelles avant de crever. Faut leur en faire baver, v’là la seule chose qu’ils ont méritée" Dans d'autres: "Sous l’uniforme, ça sent le porc. Nique sa mère, la police. Que leur drapeau se consume." Ou encore: "Il y a des meuf (femme, en verlan ou argot inversé) graves nymphomanes qui se font né-tour (tourner, soit violer par un groupe) par plus de vingt mecs dans les caves."

Ces braves jeunes gens auraient donc à se plaindre d’être harcelés par de jeunes européennes névrotiques. Il ne reste plus à Dutroux que de prétendre qu’il a dû se défendre contre les provocations de Sabine et de Létitia, de Julie et de Mélissa. Et il ne faudrait pas croire que ces énormités se répètent sous le manteau: elles se beuglent dans des discothèques pleines à ras bord et elles se vendent, très bien, à la FNAC, qui distribue les billets. Et le Centre pour l’égalité et la lutte contre le racisme ? On jurerait qu’il l’ignore. Ou bien, il ne peut pas s’occuper de tout. Alors il faut bien s’en occuper soi-même. C’est ce qui a été fait.

Le Bloc Identitaire avait par deux fois appelé à manifester pour protester contre deux concerts Sniper annoncés à Lille. La première fois, une centaine de gauchistes contre-manifestaient, la seconde fois ils se sont abstenus, comme la presse. Un concert ayant été programmé pour le 18 avril, à Tournai, c’est cette fois le mouvement Nation, par le site AlterMedia.be et par toutes les autres ressources de la communication, qui a invité tous les identitaires à protester par téléphone, par lettre, par fax, par courriel, auprès des organisateurs, du gérant de la salle, de son propriétaire, du bourgmestre, du commissaire de police. Nous nous sommes fait un devoir et une joie de répondre à cette invitation. Nation publie le communiqué de victoire que nous répercutons ici, pour remercier ceux d’entre vous qui ont eu l’occasion de participer et pour préparer les autres à l’action prochaine:

«Voici le bilan de l'action anti-sniper à Tournai. Dans un court laps de temps, quatre jours, vous avez été très nombreux à vous manifester par mail, par fax, par téléphone auprès des organisateurs, du bourgmestre et des forces de police. Par notre action, nous avons pu informer un maximum de monde sur le vrai visage de Sniper et du racisme anti-blanc, mettant à profit cette importante communication de masse pour faire passer un message de sensibilisation à la défense de notre identité, de notre vision du monde et des principes de respect de la famille et de la personne humaine qui sont les nôtres.»

Plus concrètement, nous avons réussi à diminuer de manière significative la capacité de nuisance de Sniper. Notre mobilisation ayant porté ses fruits, la salle de concert, selon nos informations, ressemblait plus à un camp retranché qu'à une soirée festive. Selon le beau frère d'un de nos camarades, policier à Tournai et de faction ce dimanche soir devant la discothèque Le Captain, un nombre important de membres des forces de l'ordre trouvait notre démarche identitaire positive, se faisant l'écho de l'importante mobilisation "citoyenne" auprès du commissariat de Rumes.

Dans la foulée de nos actions, il faut savoir que les concerts de Sniper prévus à Bruxelles le 25 avril et à Liège le 30 avril ont été annulés. Ces petites victoires, même si elles n'ont pu faire interdire le concert, sont très encourageantes pour l'avenir. Il est important de souligner la mobilisation de personnes issues de différents mouvements comme Terre et Peuple, Nation, Jeunesses identitaires, Belgique et Chrétienté, etc. Des personnes qui ont pu montrer leur intelligence, faisant abstraction de divergences de vue, pour se réunir et travailler ensemble sur un sujet bien précis. Nous parlons souvent d'unité dans notre famille de pensée. Je crois que Sniper aura au moins eu le mérite de jeter les bases de cette unité, seul projet concret et efficace dans le but qui nous anime tous, la défense de notre identité ethnique et culturelle européenne.

Jean-François

 

(Bastion n°80 d'avril 2004)

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