Le 18 mai, les Belges ont voté.

Nous tenons ici à remercier tous ceux qui ont travaillé, qui nous ont aidés, ou qui ont voté pour nous. Vraiment, merci à tous!

Le résultat de ces élections ne fut cependant pas celui que nous espérions. Mieux vaut l’avouer honnêtement que de crier cocorico comme certains, qui ont fait beaucoup moins bien que nous.

C’est l’électeur qui a toujours raison, même si nous ne sommes plus dans une démocratie. Il convient d’analyser lucidement les résultats et de nous demander: pourquoi n’avons-nous pas pu convaincre plus d’électeurs?

Première hypothèse: le vote électronique a été truqué. Ce n’est pas un simple cas de figure, mais une sérieuse possibilité, sinon une probabilité. Il nous faut donc dénoncer ce système anti-démocratique, inefficace et coûteux. D’autant plus que Verhofstadt a décidé de le généraliser. C’est un des axes de notre combat.

Mais ce n’est pas suffisant. Nous n’avons présenté que quelques listes, et il faut reconnaître que c’est notre faute. Si l’on ne se présente pas, on ne risque pas d’être élu: même monsieur de La Palice en aurait dit autant.

Il nous faut donc recueillir les signatures indispensables pour nous présenter, et surtout décider nos membres à se porter candidat. Si chacun de nos membres y mettait un peu du sien, une bonne part du chemin serait accomplie. Mais l’un se trouve trop vieux, l’autre pas assez intelligent et la plupart ont peur de ce qui pourrait leur arriver.

Il nous faut donc convaincre, motiver et organiser. C’est un travail qui doit partir de la tête du parti: j’en suis donc responsable. Je demande donc – et j’insiste – à pouvoir rencontrer nos membres. Nous tenons réunion à Bruxelles tous les jeudis soir, sauf durant les vacances: voilà déjà une belle occasion de se rencontrer. Pourquoi n’y venez-vous pas? Simplement pour faire connaissance.

Sinon, je serais enchanté de vous rencontrer chez vous. Invitez quelques amis, des curieux, ou des membres de votre famille. Cela n’engage à rien, mais cela permet de répondre à des questions et de casser des idées toutes faites. Je me déplacerai volontiers, même à Arlon ou Mouscron: le jeu en vaut la chandelle.

Si nous le voulons, si chacun y met un peu du sien, nous recueillerons plus de 5.000 signatures et nous présenterons des listes partout. Aidez-moi à y arriver.

On nous rappelle continuellement que l’union fait la force et les divisions le jeu de nos ennemis. Bien d’accord. Mais on ne peut faire alliance avec le diable pour essayer d’atteindre le paradis: notre dossier sur la S.A. Féret National et famille devrait vous éclairer sur le sujet. [...CENSURE PAR LA JUSTICE BELGE... ]

Pour le reste, tout est possible et tout est négociable – sauf l’objectif de défendre nos concitoyens et notre civilisation – avec toutes les personnes de bonne volonté, y compris avec des membres du faux FN, autres que Féret et ses associés.

L’union fait la force. Nous appelons donc toutes les personnes de bonne volonté à nous contacter pour discuter ce que nous pouvons essayer de faire ensemble. Je rencontrerai donc tous ceux qui en émettront le souhait, sans aucun tabou et sans aucun préalable.

Mais pour finaliser une alliance, l’approbation de nos membres sera sollicitée. Question de démocratie.

D’aucuns reviennent toujours avec le problème du sigle. Changer de nom. Que ce soit clair, à moins d’une alliance significative qui justifierait un tel changement, venez avec les millions indispensables et on en discutera. Sinon, il faut « faire avec » et assumer les choix du passé. La seule concession est de changer la signification des lettres FNB: si vous avez des suggestions, elles sont les bienvenues.