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Que raconte une maman musulmane, à la veillée, à ses petits? La terre entière appartient à Allah. Et à ses fidèles, les Musulmans. La terre déjà soumise à Allah, s'appelle le dar al-islam, la terre de l'islam. La terre encore insoumise s'appelle le dar al-harb, la terre de la guerre. Car c'est la Guerre Sainte, ou Jihad, qui doit faire d'une terre insoumise, une terre de l'islam. Ne vous faites donc pas la moindre illusion: la Belgique, comme d'autres territoires européens, est aujourd'hui: une dar al-harb, une terre de la guerre, destinée à la soumission.

Hé bien, pour lui, seule est d'application la loi musulmane, ou Chari'a. La loi locale du dar al-harb, en l'espèce la loi belge, est un simple fait pour lui, elle ne le lie pas. L'ordre qui règne ici est inexistant, c'est une situation transitoire, en attendant la guerre et la conquête. Comment le Musulman doit-il se comporter envers l'indigène, l'habitant du dar al-harb, appelé le harbi? Attention, ami lecteur, belge ou européen, c'est de vous qu'on parle! C'est tout simple: le harbi n'a aucun droit, au regard de la Chari'a: sa vie et ses biens appartiennent au Musulman. D'ailleurs, tous les biens ont été créés par Allah, pour ses fidèles: voler un harbi, c'est donc faire oeuvre de restitution! Bien des gens disent: comment se fait-il que les jeunes musulmans harcèlent, seuls ou en bandes, la population indigène, alors que la loi est si sévère, chez eux, au Maroc ou en Turquie? C'est bien exact: la loi musulmane punit de mort ou d'amputation, celui qui tue ou qui vole. Mais tout dépend de la victime! L'interdiction de tuer ou de voler, n'est pas universelle. On peut tuer ou voler un harbi, sans encourir de sanction, au regard de la loi musulmane!

La situation est-elle figée, aujourd'hui? Pas du tout. Si on laisse les choses aller, la Belgique deviendra, inévitablement, une terre d'islam, comme la Bosnie ou le Kosovo, par les armes ou le simple jeu de la natalité. Cela n'arrive pas qu'aux autres! Que deviendront les indigènes? S'ils sont Chrétiens ou Juifs, ils pourront préserver leur vie et leurs biens, à condition de se soumettre et de payer l'impôt. Ils s'appelleront alors dhimmi. Et les autres, dites-vous, qui ne croient ni à Dieu ni à Diable? Tant pis pour eux: l'islam ne prévoit aucune sorte de pacte, avec les incroyants. Ils seront à la merci des Musulmans, littéralement.

Bon, comment se soumettre? direz-vous, juste avant de saisir la commande à distance de votre téléviseur préféré. Il faut savoir que le berceau de l'islam est l'Arabie, où l'honneur tient, traditionnellement, une place essentielle. Tout tourne donc autour de l'honneur du musulman, et l'humiliation du dhimmi. Le bon Musulman fait oeuvre pie, en humiliant, chaque jour, le dhimmi. C'est qu'il faut lui rappeler qu'il est dans l'erreur, qu'il doit se convertir. Qui n'a essuyé, dans la rue, le métro, l'école, les crachats, les insultes, les brimades? Le dhimmi, quant à lui, doit avoir une attitude humble, envers le Musulman: il doit lui céder le haut du trottoir, ne pas le regarder dans les yeux, presser le pas, garder le silence, se lever en sa présence. Le dhimmi ne peut porter d'armes, il ne peut se défendre, il lui est interdit de lever le poing sur un Musulman, sous peine d'avoir le poing coupé. C'est la Chari'a. Il y a d'autres prescriptions, relatives au culte: le dhimmi ne peut construire d'églises ou de synagogues, il peut juste restaurer celles qui menacent ruine; il doit pratiquer son culte en silence, adieu les cloches de Pâques! il doit enterrer ses morts sans un mot.

Allons donc, direz-vous. Ici, dans ma ville ou mon village, tout est encore calme. Hé oui, quand les Musulmans ne sont pas en force, ou en nombre, ils font la trêve: c'est le dar al-Sulh. La trêve ne met jamais fin à la guerre, elle est transitoire, jusqu'à l'assujettissement à l'islam. Allons, direz-vous, en attendant, tous les Musulmans n'appliquent pas le Coran à la lettre. C'est vrai: mais le terrible message du Jihad est véhiculé dans la culture, au sein de la famille, à la mosquée, dans l'inconscient collectif. Et qu'enseigne-t-on vraiment, à la mosquée ou au cours d'islam?! Les islamologues belges donnent en vain l'alerte: d'aucuns ont déjà fait l'objet de sanctions disciplinaires à l'université où ils enseignent, ou sont menacés de poursuites en justice. Ecoutez Remi Hauman, professeur à la KUL: "Lorsque l'occasion se présente, l'islam tend à la domination absolue... C'est en ce sens, que l'on doit considérer les déclarations agressives du Coran, à l'égard d'autres religions. Ce n'est pas tant la lettre des versets qui compte, mais l'esprit qu'ils véhiculent. Ainsi, ils alimentent aujourd'hui, le comportement agressif de nombreux jeunes allochtones. ... Comme leur doctrine considère les autres religions (et les peuples qui les professent) comme inférieurs, ils se soucient moins des conséquences de leurs actes, pour les gens qui n'appartiennent pas à leur groupe. De là, cette mentalité de harcèlement, qui peut tant irriter les gens..." (De Standaard, 11.7.1999).

Les autorités belges font l'impasse, sur la doctrine de l'islam. Ils parlent de l'islam modéré, mais il n'y a qu'un islam... en sommeil! C'est que les politiciens ne voient, dans les immigrés musulmans, qu'un docile cheptel électoral. C'est faire preuve de bien du mépris, et de bien d'ignorance! Il est urgent d'ouvrir le débat sur l'islam. Il est urgent de casser la censure. Aidez-nous! Car notre avenir est en jeu, et plus encore l'avenir de nos enfants.

A lire:

"Juifs et Chrétiens sous l'islam", par Bat Ye'or, Editions Berg International, Paris

"Les versets angéliques" par le Père Samuel

"Le Coran" traduction de Régis Blachère, Editions Maisonneuve et Larose, paris