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L’Histoire

Connaître l’histoire est fondamental pour tout citoyen. L’histoire chronologique, politique et militaire, cela s’entend: pas l’anecdote historique ou « l’étude du milieu » comme on l’apprend hélas dans nos écoles.

L’histoire doit permettre de connaître les racines de son peuple, de savoir d’où l’on vient pour comprendre où l’on va.

Il faut connaître son passé pour être fier de ses ancêtres, pour aimer et s’attacher à sa terre, comprendre et respecter les vestiges et les symboles de son passé, créer une solidarité nationale.

Connaître l’histoire, c’est aussi apprendre à connaître et respecter les hommes. Ou encore posséder les moyens de comprendre et d’interpréter les évènements actuels, pour tenter de ne pas recommencer certaines erreurs.

Mais l’histoire « classique » n’a plus bonne presse. Quel sens cela a-t-il encore de dire « nos ancêtres les Gaulois » devant une classe composée à moitié de petits Arabes ou de petits Noirs?

On passe dorénavant sous silence la bataille de Poitiers, sans doute pour ne pas vexer les descendants de l’autre camp…

Pas d’histoire commune… Pas d’histoire tout court.

L’histoire que l’on enseigne maintenant est imbibée d’égalitarisme: il ne faut pas frustrer les petits Africains! On valorise l’histoire de l’étranger et on critique systématiquement notre passé.

Nos rois n’étaient bien entendu que des tyrans, nos généraux des bouchers. Pour construire les cathédrales on a abusé de la crédulité populaire. Les croisés: des brigands pillards! De l’église, on ne retient que l’inquisition et les conversions forcées. Et de la colonisation, l’exploitation…Et bien sûr, nous sommes responsables d’Auschwitz et de l’Holocauste !

Avec cette histoire là, il est difficile de susciter la passion de l’Histoire chez les jeunes!

Pas étonnant qu’un adolescent situe la préhistoire dans les années 60: c’est sous ce titre que l’on trouve les vieux rocks dans les rayons des « mégastores »!

 

Le pouvoir n’aime pas les indépendants

On nous dit et on nous répète dans les médias que nous sommes en démocratie, et que la démocratie est en danger. On entend tous les jours : « les partis démocratiques… » ce qui suppose qu’il y a des partis non démocratiques, le FNB par exemple.

Mais pourquoi doit-on rappeler sans cesse que ceux qui occupent le pouvoir sont « démocratiques »? Sans doute parce que le citoyen finirait par en douter. Et il aurait raison.

Les partis traditionnels, y compris les « libéraux », ont tout mis en œuvre pour politiser et embrigader l’ensemble de la société. Syndicats et mutuelles politiques en sont des instruments majeurs. Le pouvoir politique n’aime pas les indépendants, et pas uniquement ceux que l’on regroupe dans la catégorie professionnelle d’indépendants... Le pouvoir n’aime pas les hommes libres !

Le système veut asservir l’homme en le rendant dépendant d’allocations et de primes, en lui mettant la corde au cou via des crédits bancaires ou autres. Compliquer la législation et les mécanismes de décision pour obliger le citoyen à quémander auprès des politiciens. Un esclavage camouflé. Un nouveau servage.

Qui donc est démocratique? Le FNB ou les partis au pouvoir?

 

 

(Bastion n°51 de Mars 2001)

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