Programme FNB - Le FNB - Démocratie - Insécurité - Islam - Armes -

 Armée belge - Santé  - Féret - Le Bastion - Emploi - Enseignement - Vos élus -

Le 16 décembre, Michel Nihoul est libéré sous condition! Il est pourtant toujours soupçonné de l'enlèvement de trois fillettes, Julie, Mélissa et Laetitia. Le 24 décembre, le Ministre Verwilghen remet Nihoul derrière les barreaux, parce qu'il n'a pas répondu à une convocation de l'assistante de probation. Scandaleux! fulmine le quotidien Le Soir, qui exige la démission du Ministre.

Car le journal Le Soir, comme toute la presse couchée du régime, a décidé de "blanchir" Nihoul. Comme on en a blanchi bien d'autres: le blanchiment d'hommes politiques, de magistrats, pédophiles, assassins ou véreux, est une véritable spécialité belge. Nihoul, auteur des enlèvements de fillettes? C'est une hypothèse fragilisée, dit le Soir, dans la foulée de l'émission "Au nom de la loi" de la RTBF. "Une erreur judiciaire en chaise roulante", ironise le journaliste Claude Semal. La thèse officielle reste toujours pareille, et elle s'appliquera cette fois à Nihoul. Oui, il y a en Belgique des enfants enlevés, violés, tués. Mais, à part quelques prédateurs isolés, il n'y a ni pédophiles ni protecteurs. Tout le monde a compris? Dutroux, famille d'accueil? ironise amèrement Gino Russo, le père de Mélissa.

La loi du silence, l'omerta, pèse sur le cadavre des fillettes. On discrédite des témoins, on égare des cassettes, on protège des inculpés, on écarte des enquêteurs. Qui? La Sûreté de l'Etat est passée maître, depuis belle lurette, dans le montage et le démontage de dossiers. Claude Semal, dans l'hebdomadaire Le Journal du Mardi, y ajoute à juste titre deux autres larrons. Les milieux libertins, qui se sont sentis menacés, dans leur licence sexuelle, par les marches blanches. Et le crime organisé, la mafia, discrète, efficace, qui tient étroitement la Wallonie, le Parti Socialiste, et quelques autres organes de presse. La mafia est connue et reconnue en Italie, dit Semal, elle reste masquée en Belgique. Comment combattre ce qui n'a même pas de nom?

Ainsi, les pédophiles pourront tranquillement continuer à consommer de la blanche, de la noire, du pain d'épices: des fillettes blanches, noires ou originaires des Philippines. Ou de la "camelote", des gosses de moins de 16 ans. La prostitution des mineurs a plus d'un avantage. L'argent: "De telles jeunes filles sont fraîches, dit Dutroux, on peut les vendre facilement et elles rapportent gros". Des garanties sanitaires: un enfant plus jeune a plus de chances d'être épargné par le Sida, ou d'autres maladies vénériennes. Et le chantage, vis-à-vis des consommateurs imprudents: toute une génération de politiciens belges est tombée dans ce piège.

L'immigration sauvage, l'arrivage de "réfugiés politiques" mineurs non accompagnés, l'ouverture des frontières, sont pain béni pour les importateurs d'enfants, pour le crime organisé. Avec la complicité silencieuse de l'Etat-mafia Belgique. S'en prendre à la mafia, désormais, m'a dit le plus sérieusement du monde un journaliste flamand, c'est s'en prendre aux structures démocratiques de l'Etat. Est-ce pour cela que le Front Nouveau de Belgique se fait toujours traiter de parti non démocratique??!!

Alors...dans ce pays que l'on disait catholique, la Belgique, ce que nous avons de plus précieux, l'enfant, est menacé dans sa vie et son intégrité physique et morale. L'enfant est bien au centre de la vie de ce pays, mais, hélas, en négatif! Nous en sommes tous responsables. Ressaisissons-nous. Reprenons les rênes en mains. Que l'enfant soit à nouveau, notre avenir, notre fierté. Qu'il soit protégé dans nos familles, dans nos écoles, dans toute notre communauté. Qu'on lui rende son enfance, son innocence, ses expériences, ses premiers pas, ses premières découvertes, à son rythme.

Ne refermez pas ce "Bastion", sans rien faire. Prenez vite contact avec nous, aidez-nous concrètement. Pour que nous puissions continuer à parler, à écrire, à communiquer avec vous. Pour que la loi du silence, l'omerta, ne recouvre pas, à jamais, les Belges et leurs enfants.