La violence dans les écoles, c'est déjà la violence de l'islam

 

1968. Avant mai 68. Avant: "Il est interdit d'interdire". J'étais à l'Athénée de Wavre. Au petit matin, les élèves se mettaient en rang, dans la cour. En silence. Les filles en tablier. Les garçons, le cheveu court. Les professeurs, en complet veston. Nous allions vers de grandes classes claires. La craie au tableau vert. Pour une équation, un chaînon de chimie organique, ou un texte d'Ovide. Les professeurs étaient craints, ou respectés.

 

1998. L'Institut Chomé-Wyns, à Anderlecht. 260 élèves, dont 95% sont issus de l'immigration. Un professeur de géographie tourne le dos aux élèves, elle écrit au tableau. Un élève joue au vogelpick: il lui lance un tournevis à la tête. Le professeur est blessé et saigne abondamment.

 

1997. L'Institut de la Providence, à Anderlecht. Une toute jeune femme donne son premier mois de cours. Elle donne un zéro pointé à toute la classe, qui refuse de travailler. Ce n'est pas du goût de 4 élèves, Mounir, Nabil, Khalid et Dia Edine. Ils enferment la jeune femme, lui palpent les seins, la menacent de mort. L'un d'eux se déculotte, exhibe son sexe en érection. Les adolescents sont renvoyés...pour 8 jours. Mécontent, l'un d'eux vient à l'école, menacer le préfet d'un couteau.

 

C'est la vie quotidienne des enseignants, dans les écoles "noires", les écoles d'immigrés. C'est un élève, que l'on trouve nettoyant tranquillement son revolver dans la classe. Les élèves qui portent des couteaux. Qui incendient les locaux. Qui crèvent les pneus des voitures. Qui frappent et insultent les professeurs. Les professeurs femmes n'osent pas aller aux toilettes toutes seules. "Non, je ne suis pas déprimée", dit une jeune femme à la télévision. Elle est assise, inerte. "Je suis contente, le matin, quand un élève me dit bonjour. Mais 14 autres m'insultent: salope, cochonne. Je suis humiliée tout le temps". Humiliée. Elle a dit le mot. Elle a compris, sans comprendre.

 

Pour un musulman, la terre est divisée en deux zones bien nettes. Le dar-al-islam, la terre qui appartient à Allah. Et le dar-al-harb, la terre des infidèles. Le dar-al-harb est la terre de la guerre. Car le dar-al-harb est destiné à passer sous contrôle islamique. Par les armes ou par la conversion. Le jihâd est simplement l'état de guerre, ou d'hostilité permanentes, du musulman à l'égard de l'infidèle, jusqu'à la disparition ou la conversion de celui-ci. Car sur les terres du dar-al-harb, il y a des indigènes. Les Belges, par exemple. Et l'indigène non-musulman s'appelle un "dhimmi", un diminué, un inférieur. L'indigène est destiné à la soumission. Il n'a rien à apprendre au musulman. Il n'a rien à dire. Il n'a pas à commander.

 

L'une des obligations du musulman, vis-à-vis du dhimmi, est de l'humilier. Humilier le dhimmi est faire oeuvre pie, c'est un devoir religieux. Exprimer publiquement son aversion pour le dhimmi, est faire oeuvre pie. Le dhimmi, dans les pays occupés par les musulmans, doit être humble, se taire, se tenir debout en leur présence, il ne peut lever la main sur un musulman, et ne peut porter d'armes. Le Ministre Van Parys l'a compris.

 

La violence dans les écoles, ce n'est pas dans la nature des immigrés. C'est dans leur culture. La violence dans les écoles, c'est déjà la violence de l'islam. A l'égard des infidèles. Cela ne servira à rien de nous interdire, les mots pour le dire. Lorette Onkelinck aura beau engager des vigiles, installer des détecteurs de métaux, distribuer des gilets pare-balles aux professeurs! Qu'elle étudie plutôt l'islam. L'histoire de l'islam. Qu'elle lise le terrible livre de Bat Ye'or: "Juifs et Chrétiens sous l'islam", publié par Berg International. Les professeurs sont en contact forcé avec les musulmans. Ils sont les premiers à apprendre la dhimmitude. Ils sont les premiers à apprendre la soumission: "Je suis contente quand un élève me dit bonjour...".

 

MB Député fédéral,

Ancien Conseiller à la Cour du Travail,

Président du Front Nouveau de Belgique

  (Bastion n°29 -Décembre 1998)

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